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De bonne volonté, le film ! 

Pendant près d’un an, une équipe de réali­sa­teur a rencon­tré des équipes locales en France pour les filmer. De l’ate­lier dessin à la chorale en passant par le théâtre, les béné­voles et les personnes accueillies déploient leurs talents artis­tiques. Le film De bonne volonté met en lumière ces moments déli­cats et précieux, où l’art surgit d’une parole, d’un coup de pinceau ou d’une voix. Ensemble et côte à côte, tous nouent des liens forts, chacun se révèle à l’autre dans un formi­dable dialogue complice. Dans cette chro­nique, Jean-Charles Mayer, direc­teur de la géné­ro­sité et de la collecte à la Société de Saint-Vincent-de-Paul dévoile en avant-première quelques uns de ces instants.

Le film sera diffusé sur la chaine KTO lundi 24 mars 2025 à 20h35, dispo­nible en replay sur ktotv.com.

 

Angela, photo­graphe de talent

Dans cette chro­nique, Valé­rie-Anne Maître, rédac­trice en chef du maga­zine Ozanam pour la Société de Saint-Vincent-de-Paul raconte l’his­toire d’An­gela, une photo­graphe accom­pa­gnée par les béné­voles de l’as­so­cia­tion. Angela a réalisé une série de photos dans sa région, pour mettre en avant les actions de la Société de Saint-Vincent-de-Paul. Son travail a été exposé à Lourdes, lors des Rencontres Natio­nales.

 

Des jeunes enga­gés !

Il n’y a pas d’âge pour deve­nir béné­vole. Si certains fêtent leurs 40 années de béné­vo­lat, d’autres commencent à offrir de leurs temps aux personnes fragiles. Dans cette chro­nique, Valé­rie-Anne Maitre, rédac­trice en chef du maga­zine Ozanam, évoque le parcours de ces jeunes qui deviennent béné­voles dans l’une des équipes de la Société de Saint-Vincent-de-Paul. 

 

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L’ac­tion des béné­voles en Outre-mer

Présents sur tout le terri­toire, les béné­voles de la Société de Saint-Vincent-de-Paul agissent aussi dans les terri­toires en Outre-mer. Dans cette chro­nique, présen­tée par Valé­rie-Anne Maitre, gros plan sur les actions menées en Marti­nique mais aussi en Nouvelle-Calé­do­nie et à Mayotte.

 

 

Appe­ler une influen­ceuse, non mais allô ?

Pour toucher un nouveau public, la Société de Saint-Vincent-de-Paul a fait appel à des influen­ceuses en leur propo­sant d’illus­trer certaines des actions histo­riques de l’as­so­cia­tion: la visite à domi­cile ou en prison. Dans cette chro­nique, Agathe Rodrigues, char­gée de contenu numé­rique, détaille l’objec­tif d’une telle colla­bo­ra­tion et montre comment la lumière des réseaux sociaux fait briller l’ac­tion des béné­voles.

 

 

Rencon­trer Dieu en prison

Patrick a rencon­tré Dieu en prison. A la sortie, accueilli par la Frater­nité du Bon Larron (asso­cia­tion affi­liée à la Société de Saint-Vincent-de-Paul), il a gardé le souci de l’autre, du plus petit et l’en­vie d’ai­der plus parti­cu­liè­re­ment les anciens déte­nus. Un jour, Patrick est monté sur scène pour jouer… le Bon larron devant 1 7000 personnes. Une belle histoire racon­tée par Jean-Charles Mayer, direc­teur de la commu­ni­ca­tion de la Société de Saint-Vincent-de-Paul.

 

Etre Vincen­tien? Ce qui anime les béné­voles 

Pourquoi les béné­voles de la Société de Saint-Vincent-de-Paul sont-ils béné­voles? Qu’est-ce qu’un Vincen­tien (un béné­vole donc?). Valé­rie-Anne Maitre, rédac­trice en chef adjointe du maga­zine Ozanam se pose régu­liè­re­ment la ques­tion et… les réponses sont riches !

 

Ange­lina, de Kiev à Paris

Depuis le déclen­che­ment de la guerre en Ukraine, les béné­voles de la Société de Saint-Vincent-de-Paul se mobi­lisent pour aider les familles ukrai­niennes. Au delà d’un soutien finan­cier, ils accom­pagnent les réfu­giés lorsqu’ils arrivent en France avec parfois une seule valise pour tout bien. Dans cette chro­nique, Valé­rie-Anne Maitre, rédac­trice en chef adjointe du maga­zine Ozanam, raconte le parcours d’An­ge­lina, jeune étudiante de Kiev, aidée par l’as­so­cia­tion et qui est deve­nue à son tour béné­vole.

Faire halte, à Brest

Depuis 1989, les béné­voles de l’équipe locale de Brest accueille les personnes en situa­tion très précaire dans un local ouvert tous les week-end et les jours fériés : la Halte. Un accueil de jour chaleu­reux, où chacun trouve de quoi se restau­rer, se repo­ser mais aussi des compa­gnons pour échan­ger, discu­ter, parta­ger un café. Dans cette chro­nique, Agathe Rodrigues, char­gée de contenu numé­rique à la Société de Saint-Vincent-de-Paul raconte comment ce lieu emblé­ma­tique de la ville est devenu incon­tour­nable pour tous ceux qui sont isolés.

 

Une jour­née olym­pique avec la Société de Saint-Vincent-de-Paul

En juillet, l’équipe pari­sienne de la Société de Saint-Vincent-de-Paul a emmené une ving­taine de personnes accueillies parti­ci­per à une anima­tion spiri­tuelle et spor­tive orga­ni­sée par Holy Games. Dans cette chro­nique, Valé­rie-Anne Maitre, rédac­trice en chef adjointe du maga­zine Ozanam, rappelle l’ac­tion d’un béné­vole très impliqué dans l’as­so­cia­tion: Jérôme Perrin, président de l’équipe pari­sienne.

 

 

Deve­nir béné­vole, pourquoi pas vous ? 

En 1833, Frédé­ric Ozanam, un jeune bour­geois catho­lique en a eu assez de se conten­ter de prier sans agir concrè­te­ment pour les pauvres. 191 ans plus tard, la Société de Saint-Vincent-de-Paul compte 17 000 béné­voles dans 800 équipes en France. Dans cette chro­nique, Jean-Charles Mayer, direc­teur de la commu­ni­ca­tion de l’as­so­cia­tion, met en avant les actions créa­tives des béné­voles et l’or­ga­ni­sa­tion souple d’une asso­cia­tion véné­rable mais jeune d’es­prit. Et si vous aussi, vous deve­niez béné­vole à nos côtés? 

 

 Deve­nir béné­vole